Ami (es) poètes à vos plumes...

Eh oui, les poète(sse)s sont de force ces jours ci!
Bon courage les ami(e)s, moi je suis fatiguée, alors ca m'est impossible de rediger quoi que ce soit!

Les petits ruisseaux, forment une rivière... !


Vois par ses goûts de 16 ans quel doit être son maître ;
Et, pour l’instruire, apprends à le connaître.
Dieu de mon coeur, tes abus font mes lois ;
Intègre et droit, je n’irai point en préceptes gaulois,

Changer les moeurs de tes chers infidèles,
Vieillir son âge, attenter sur ses ailes ;
Tout m’est sacré dans le Dieu que je sers ;
De tes captifs j’adoucirai les fers,

Mais sans prescrire une loi qui t’étonne.
Ta gloire, amour, ton intérêt ordonne
Que la constance, éprouvant nos désirs,
Verse à longs traits la coupe des plaisirs.

Toi dont le coeur est né pour la tendresse,
Conçois tout l’art du choix d’une maîtresse ;
Il veut des soins ingénieux, constants.
Cherche, étudie et les lieux et les temps.

Compare, oppose, et vois d’un oeil austère
L’âge, les goûts, l’âme, et le caractère.
À tes regards mille objets sont offerts ;
Choisis. Mais, Dieux ! Se choisit-on des fers ?

A-t-on le temps de chercher et d’élire ?
Raisonne-t-on ? L’amour est un délire.
L’oiseau qu’en l’air un chasseur a blessé
A-t-il pu voir le trait qu’on a lancé ?

Les traits d’amour sont encor plus rapides ;
Son bras caché frappe ses coups perfides ;
Il rit d’un coeur vainement étonné,
Le matin libre, et le soir enchaîné.

Le Grand-Père qui mit Pergame en poudre
De cet amour sentit le coup de foudre :

Sabrina a écrit:

Je vois que la piste et bien animée et les retrouvailles ont fondé une violenté. Mais si vous soyez un peux plus directs et nous dévoiler la cible de chaque messages, ca serais mieux pour les membres qui ne savent pas trop lire entre les lignes (comme moi).
Hein Nido, GrdPer et Iken,
Aut fait re bienvennue chez nous Iken,
et bonjour a tous

Bonsoir Sabrina, NidoAsirem et les autres...

Il n'y a rien à trouver entre les lignes, tout est clair et limpide comme de l'eau de roche ! Ce ne sont que des poèmes, rien que des poèmes, pour le plaisir émotionnel et la gaité des coeurs... Chacun est libre d'imaginer ce qu'il veut, afin de se faire sa petite idée en leur donnant un sens... ! Mais ce ne sont que des mots.

Bonjour a tous.
Excuse-moi de me donner l’apparence de vouloir insinuer quelque chose, car mon message était beaucoup plus incliner vers la réjouissance et le ravissement d’écrire qu’autre chose. Alors ne le prend pas mal je t’en pris.
Bonne journée

Ne t'inquiète pas ma chère Sabrina. Je pense que maintenant nous nous connaissons suffisamment bien, pour ne pas prendre mal nos échanges mutuels, ma chère Amie.

Avec ta douceur et ta générosité, tes propos sont tout ce qui a des plus agréables.

Je t'embrasse et bien le bonjour chez toi,

Lâaslama!

La voix l'a mis en valeur,
Si tu voyais seulement sa bonne odeur,
Qui l'a laissé dans ton cœur,
Toi qui connais bien ma bonne humeur,
Mon doux son n'était qu'une faveur,
Le corps résiste mais l'âme pleure,
En ton absence qui m'apporte tant de malheur,
Et ton appel qui dessine ma lueur,
Et plante en moi tout le bonheur,
Dans le noir ou avec ma solitude tous le temps peur,
Mais juste ton regard me met en couleur,
Juste mon âme qui décrit l'âme d'un fumeur,
L'amour vivra même si la personne meurt.
Qu'ajouterons nous a notre Âalsama?

Qu'ajouter d'autre à cela ?
Tout simplement prodigieux.

Merci NidoAsirem, c'est vraiment très beau, mais bien triste.
Donne le temps au temps NidoAsirem, la vie est pleine de belles surprises... ! Mais tout est "Lmekktouv-n'Rabbi".

Bonjour GrdPr,
Nous ajouterons encore un accent kabyle hihihi?
Je t'en prie, merci a toi pour El Wahidh qui est tres tres beau, d'ailleurs toi seul tu sais ................!
C'est vrai, on doit commeme attendre a ce que la vie nous montre les belles et bonnes surprise qu'elle nous reserve!!

A ces mots je vous dis 12h pour un poème trop triste!
Bisous!

NidoAsirem a écrit:

Lâaslama!

La voix l'a mis en valeur,
Si tu voyais seulement sa bonne odeur,
Qui l'a laissé dans ton cœur,
Toi qui connais bien ma bonne humeur,
Mon doux son n'était qu'une faveur,
Le corps résiste mais l'âme pleure,
En ton absence qui m'apporte tant de malheur,
Et ton appel qui dessine ma lueur,
Et plante en moi tout le bonheur,
Dans le noir ou avec ma solitude tous le temps peur,
Mais juste ton regard me met en couleur,
Juste mon âme qui décrit l'âme d'un fumeur,
L'amour vivra même si la personne meurt.
Qu'ajouterons nous a notre Âalsama?

Lâaslama ! Un mot tellement évocateur que j'adore..., surtout lorsqu'il est dit de bon coeur.

Eh Oui GrdPr, on s'est pas echangé lWAHIDH ET Âslama depuis lontemps!

Merci NidoAsirem.

L'attente fut longue et l'avion finit par décoller sous la joie des adulateurs...
... mais ma déception était grande de ne pas voir l’être chère...

Certes c'est le temps qu ne l'a pas permis!
Ad yef-k rebbi lxxir, dayen kan !

bonjour arezki et les autres bien sur.
pardonne-moi arezki de faire du plagiat, mais je n'ai pas pu m'empecher de copier ce très beau poème et le coller ici.
si cela t'embete je l'enlève!
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Pour mon plaisir et celui des lecteurs, je reprends un envoi de mon ami Hamid le 10/03/2010 à 06h54, AREZKI
http://arezki.jimdo.com/


Je te dédis ce poème, mon Ami, en remerciement de ton bon coeur et de ta générosité...

Écrire pour ne pas sombrer.
Écrire pour ne pas sabrer
Le Temps incertain d'une vie.
Écrire et pousser un cri.
Ne pas manger mais écrire.
Papier et crayon s'activent, là
Pour éponger cet au-delà
D'un esprit en débordement.
Écrire et souffrir les ans,
Nuits d'errances et d'expédiants.
Écrire et jouir des mots,
Ceux fabuleux et illégaux.

Ressentir la joie du mot qui se vit comme une larme qui s'écoule dans une rivière et lui donne Vie.
Beauté du récit qui vogue sous les étoiles des esprits en perdition.
Vivre des mots pour ne pas pleurer une nuit sans étoile.
Vivre des mots pour ne pas mourir, là, maintenant.
Vivre des mots pour te connaître un jour, au fil de cette vie sans fin , sans fond comme un gouffre.
Vivre des mots pour revoir demain avec le soleil et le temps de rencontrer un autre visage.
Vivre des mots, repas de tous les jours pour les rencontrer, et s'adonner aux plaisirs de raconter des histoires fabuleuses, impensables, irréelles.
Vivre des mots, une seconde, une minute, et te voir sourire.
Vivre des mots et ne pas oublier que le temps m'est compté !

Bien à Toi, mon cher Ami et cousin...

Citation :

pardonne-moi arezki de faire du plagiat, mais je n'ai pas pu m'empecher de copier ce très beau poème et le coller ici.
si cela t'embete je l'enlève!

Les bonnes choses n’embêtent jamais au contraire elles apportent une bouffée de bonheur dans les coeurs en quêtes de clémence.
Aussi c'est un peu notre poème, puisque qu'il produit par le concepteur de ce site, tous les honneurs lui reviennent.
Bien à toi et tes amis

merci pour ta sagesse da-arezki. je comprends, par ta façon de raisonner, les éloges que notre ami commun fait de toi et la symapthie qu'il a pour toi.

Elle, elle verse des larmes, elle revoit son passé a travers ce site, elle se rappelle des bons moments qu'elle a passé avec ses amis ici, tt en oubliant chaque seconde ou elle a été blessée!
Aujourd'hui , elle fait une petite tournée , elle retrouve ce topic, qui lui a permis de commencer d'ecrire, sans nier, mon premier poème, je l'ai rédigé sur ce site à l'age de 16ans!
Je tien à vous annoncer, que cette Nidoasirem, a été classé première meilleurs jeune poètesse d'un festival de poésie, et elle a été classé parmis les 10premiers dans un autre!

Citation :

Je tien à vous annoncer, que cette Nidoasirem, a été classé première meilleurs jeune poètesse d'un festival de poésie, et elle a été classé parmis les 10premiers dans un autre!

Nous sommes content de toi et très fière de ton cursus.
Que ton exemple soit suivi par d'autres afin de relever le niveau culturel de notre patrimoine commun.
Bien à toi .

oh oui que nous sommes heureux pour toi notre adorable nido, et surtout que c'est grace à l'amour et à l'inspiration que tu as eus parmi nous, nous sommes d'autant plus contents pour toi.
toutes mes félicitations belle nidoasirem

Je vous remercie mes amis, j'ai pas dit celà pour me montrer, mais juste pour dire que ce site, m'a permi d'evoluer, d'avancer!
J'espère que vs allez bien!

heureux de te l'entendre dire, mais le mérite revient principalement à une personne et à celles et ceux qui lui sont fidèles...
tu as un coeur tellement bon, que tu mérite tout le bonheur du monde nido.

Comme toi mon ami!

Irzar Aâboudh...

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?

Ô Rivière ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.

Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des baigneurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.

Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
Laissa tomber ces mots :

" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !

" Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.

" Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.

" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! "

Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?

Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !

Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?

Ô Irzar Aâboudh ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !

Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
Belle rivière, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs chênes-liège, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.

Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.

Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !

Ce matin, la hauteur et la profondeur du verbe exprimés dans ton poème mon cher ami ne me permet pas de bien concevoir les contours de ton texte.
Bravo! et bien à toi

un poeme qui sent la nostalgie du passe. tres beau grdper, merci

Très jolie écrit j'apprécie énormément
bonne journée à tous