Beni, Oued, ouled,... a bannir

Ait Douala devenue Beni Douala
Assif N soummam devenu Oued Soummam
Ait M'barek devenu Ouled M'barek

on doit apprendre a dire : Assif Aissi, Ait Douala, Assif N Soummam, Ait M'barek...

Hzaouche a écrit:

Ait Douala devenue Beni Douala
Assif N soummam devenu Oued Soummam
Ait M'barek devenu Ouled M'barek

on doit apprendre a dire : Assif Aissi, Ait Douala, Assif N Soummam, Ait M'barek...

Éclairez ma lanterne, SVP.
Je pensais qu'on disait Ath au lieu d'Aït (ex.: Ath Douala, Ath Ouassif... !)
Et si on consacrait une rubrique uniquement à cela !? Re-kabyliser (ou plutôt, Authentifier) les noms de nos contrées...

Ath et Ait c'est la meme chose, ils sont des synonymes, on a besoin de faire des mots croisés en Tamazight. Tamazight a des synonymes comme le reste des langues

Azul
Je me souviens avoir intervenu sur un site qui malheureusement est fermé ou en construction sur un sujet pareil
Les Arabes lorsqu'ils sont arrivés en Afrique du nord malgres leurs inferiorité numerique ils se sont mis a Arabiser les villages
on trouve Aouled djellal dans le sud-est son vrai nom est Ath jellal ,Ath nail .Au Maroc a coté de Meknes le site Romain Volubilis les Arabes ont voulant l'arabiser ils le baptise Walili des chercheurs Amazigh ont trouvé la signification a ce nom etrange des Rmains et des Arabes ,apres de longues recherche les noms Volubilis et Walili provienne de la plante qui pousse dans ce perimetre et qui est Illili(le laurier)
donc aujourd'hui je considere que le combat identitaire concerne aussi la reabilitation
Thannemirth

J'ai bien lu quelque part que l'origine de ces particules Ben, Beni et Oued et Ouled, affectées aux noms de familles, de villages, d'oueds, etc., vient non pas de l'occupation turque, mais de la colonisation française, beaucoup plus récente. En conquérant la Kabylie, les maîtres de l'époque avaient en effet fait appel aux rares lettrés arabisants qui avaient reçu pour mission d'enregistrer tous ces noms dans la langue arabe, avant leur transcription ultérieure en français. C'est donc bien à nos compatriotes, des marabouts essentiellement sachant lire et écrire l'arabe, que nous devons ces particules ridicules qu'il nous revient de faire disparaître, au plus tôt, si nous entendons donner un sens au combat amazigh.