Poèmes pour l'Algérie heureuse...

~~~Assia Djabar ~~~


Neiges dans le Djurdjura
Pièges d'alouette à Tikjda
Des olivettes aux Ouadhias
*On me fouette à Azazga*
Un chevreau court sur la Hodna
Des chevaux fuient de Mechria
Un chameau rêve à Ghardaia Et mes sanglots à Djémila
Le grillon chante à Mansourah
Un faucon vole sur Mascara
Tisons ardents à Bou-Hanifia Pas de pardon aux Kelaa
Des sycomores à Tipaza
Une hyène sort à Mazouna
Le bourreau dort à Miliana Bientôt ma mort à Zémoura
Une brebis à Nédroma
Et un ami tout près d'Oudja
Des cris de nuit à Maghnia Mon agonie à Saida
La corde au cou à Frenda
Sur les genoux à Oued-Fodda
Dans les cailloux de Djelfa La proie des loups à M'sila
Beauté des jasmins à Koléa
Roses de jardins de Blida
Sur le chemin de Mouzaia Je meurs de faim à Médea
Un ruisseau sec à Chellala
Sombre fléau à Medjana
Une gorgée d'eau à Bou-Saada Et mon tombeau au Sahara
Puis c'est l'alarme à Tébessa
Les yeux sans larmes à Mila
Quel Vacarme à Ain-Sefra On prend les armes à Guelma
L'éclat du jour à Khenchla
Un attentat à Biskra
Des soldats aux Nementcha Dernier combat à Batna
Neiges dans le Djurdjura
Piéges d'alouette à Tikjda
Des olivettes aux OuadhiasUn air de fête au coeur d'El Djazira.
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de son vrai nom Fatima-Zohra Imalayène...

Très jolie poésie,Iratz

Assia Djebar en est l'auteur de ce poème, et ce qui m'attire le plus, c'est le quatrième trait de son récit...





Azul, Tata et Lori !

azul Iratz,
tata t'embrasse bien fort, elle est triste la 4eme phrase?????

Elle est triste?

Celle-ci: *On me fouette à Azazga* ? C'est son mot, Tata.

...


Iratz, fut son fouettard ! Rire...!
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azul Iratz,
tata t'embrasse bien fort
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Azul, et Merci, Tantine!

Sacré père fouettard alors.

Sourires...









.

Bon appétit,les enfants
tata prpare un repas digne de ma soirée bizzzzzzzzzzzzz.

iratz a écrit:

~~~Assia Djabar ~~~


Neiges dans le Djurdjura
Pièges d'alouette à Tikjda
Des olivettes aux Ouadhias
*On me fouette à Azazga*
Un chevreau court sur la Hodna
Des chevaux fuient de Mechria
Un chameau rêve à Ghardaia Et mes sanglots à Djémila
Le grillon chante à Mansourah
Un faucon vole sur Mascara
Tisons ardents à Bou-Hanifia Pas de pardon aux Kelaa
Des sycomores à Tipaza
Une hyène sort à Mazouna
Le bourreau dort à Miliana Bientôt ma mort à Zémoura
Une brebis à Nédroma
Et un ami tout près d'Oudja
Des cris de nuit à Maghnia Mon agonie à Saida
La corde au cou à Frenda
Sur les genoux à Oued-Fodda
Dans les cailloux de Djelfa La proie des loups à M'sila
Beauté des jasmins à Koléa
Roses de jardins de Blida
Sur le chemin de Mouzaia Je meurs de faim à Médea
Un ruisseau sec à Chellala
Sombre fléau à Medjana
Une gorgée d'eau à Bou-Saada Et mon tombeau au Sahara
Puis c'est l'alarme à Tébessa
Les yeux sans larmes à Mila
Quel Vacarme à Ain-Sefra On prend les armes à Guelma
L'éclat du jour à Khenchla
Un attentat à Biskra
Des soldats aux Nementcha Dernier combat à Batna
Neiges dans le Djurdjura
Piéges d'alouette à Tikjda
Des olivettes aux OuadhiasUn air de fête au coeur d'El Djazira.
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de son vrai nom Fatima-Zohra Imalayène...

J'avais lu ce poéme il y'a des années et je me souviens avoir eu une pensée pour toutes les villes algériennes que j'ai visité mais c'est bizarre elle ne parle pas de sa ville natale qui est cherchell. j'aurais voulu savoir ce que cette ville aurait pu inspirer à Notre Assia Djebbar!

Elle ne peut pas parler d'une ville qui ne se termine pas par un "a". Forcément !
Je trouve que ce ne sont que de pure sottises ce qu'elle raconte dans ces balivernes. Tout le monde est capable de faire mieux que cela.

Izem a écrit:

Elle ne peut pas parler d'une ville qui ne se termine pas par un "a". Forcément !
Je trouve que ce ne sont que de pure sottises ce qu'elle raconte dans ces balivernes. Tout le monde est capable de faire mieux que cela.

Je pense que sa ville natale se termine aussi par un "a' je vais verifier.

Tout le monde est capable de faire mieux que cela ? vous dites?

C'est ce que l'on appele le génie! C'est aussi notre avis quand un chef d'oeuvres en peinture et que l'on pense que c'est juste du gribouillie!

Je trouve que ce ne sont que de pure sottises ce qu'elle raconte dans ces balivernes. Tout le monde est capable de faire mieux que cela.
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Quasi tout le monde, oui! Sottises, balivernes?...Non!

Il faut le faire, rien n'est facile.

rien n'est facile.
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Même le fait de mâcher.

Rien que le fait d'avoir penser le premier à faire quelque chose, est un prodige !

Le fil à couper le beurre est très facile. Mais il fallait penser à l'inventer...

GrdPer a écrit:

Rien que le fait d'avoir penser le premier à faire quelque chose, est un prodige !

Le fil à couper le beurre est très facile. Mais il fallait penser à l'inventer...