Lisez-moi et comprenez-moi...

Je loge une chaumière posée près d’un ruisseau
Une maison en pierre construite avant la guerre
On voit 1947……………… gravée sur le linteau
Elle est posée plein MIDI, un peu comme une serre.

Accotée au rocher du dépôt au grenier
Trois sentiers sont tracés pour mieux y accéder
Vous avez tout compris son dos est enterré
Trois niveaux de plein pied accrochés au rocher.

Une grande pièce en L symbole de liberté
Pour pouvoir y grignoter ou bien, s’y reposer
Dans un grand siège, devant ma cheminée,
La garce par vent d’ouest refuse de tirer.

Des pièces pour sommeiller, d’autres pour les loisirs,
Des canapés pour lire, une table pour écrire.
Juste un havre de paix construit pour le plaisir.
Rajoute une terrasse quand l’été vient sourire.

Autour, c’est la nature dans son état sauvage,
Le brame du grand cerf, ou le chant du bouvreuil,
Le coucou printanier, l’aboiement du chevreuil.
Et puis dans le torrent la truite et ses gobages.

C’est là que j’ai trouvé mon refuge, mon asile,
En mon abri pourri, ou tout m’est prohibé, fors mon cri,
Mon coin de paradis loin des bruits de la ville,
Et loin, des âmes braves, blèches ou viles,
Où je mets le murmure des arbres en mon livre,
Moi, l’incompris, le maudit, le guignard et l’ivre,
Qui invoque l’auteur de ce monde soir et matin,
En ma langue, en oïl, en maure, et en latin.


NB : Tout le monde sait, que la plus grande douleur est muette, ne fait entendre aucune plainte !
Savez-vous pourquoi elle l’est ? Je le sais, hélas.






@ tantôt mon grand frère.

Réctificatif: On voit 1947.

Amesmarre n’Djeha !

Ton poème m'en dit long.
Mais je ne devine ce nid, hélas, et je te demande pardon !
Cela fait quand même plus de vingt ans,
Que les ennemis de Dieu assombrissent mon temps,
Ils m’empêchent d’humer cette poussière qui m’a fait grandir,
Je n’ai plus que des souvenirs,
Croyant avoir réussi, Je vois d’ici leurs sourires,
Mais ils ne pourront me faire mourir !
Je suis d’un tempérament tenace,
Ils ne pourront gommer ma trace,

Je t’embrasse aGma amechtoh, merci de réapparaître !

J’oublierai mes tourments, jamais mes tourmenteurs, dit le tourmenté ! Un résumé de ton écrit, grand frère !

Dis, et si on s’alliait ! Tu écris excellemment, Mais en toute franchise, je préfère ton écriture à la main, tu es un vrai calligraphe, je m’en souviens.

Merci pour la leçon de morale.

Je suis de tout coeur avec toi.

Embrasses tout le monde de ma part, et surtout ces deux créatures qui vivent loin des leurs, dans la tristesse et la douleur qu’elle endurent au quotidien ce sont, hélas, leurs éternels refrains, Elles n'ont jamais fait de mal, mais dans cette vie qui ne cesse de s'acharner sur elles, il n’y a rien qui vaille ! Ainsi que ma génitrice, qui me manque tellement, rien que d'y penser des larmes jaillissent. Sans t'oublier bien sûr PF.

A bientôt,

D'accord G.F, j'embrasserais tout le monde, je serais le bisoutier!

Sourire...........

A qui dois-je imputer,
Cette non-incartade ?
Ai-je mal supputé,
Où, vois-je tout fade ?
Vipérin, suis réputé,
D’humeur maussade,
Plus coeuré que futé,
Grillant tous les grades.
Peu d’âmes, ne suis qu’un hi han! Buté,
Maintes âmes, régal œil en cette rade.
Ah ! Ma langue méga affûtée,
Qui fit brusquement stade !
Car, ma vie se mua en U.T
C’est pourquoi je dus faire gambade.

...

The End.

Iratz a écrit:

A qui dois-je imputer,
Cette non-incartade ?
Ai-je mal supputé,
Où, vois-je tout fade ?
Vipérin, suis réputé,
D’humeur maussade,
Plus coeuré que futé,
Grillant tous les grades.
Peu d’âmes, ne suis qu’un hi han! Buté,
Maintes âmes, régal œil en cette rade.
Ah ! Ma langue méga affûtée,
Qui fit brusquement stade !
Car, ma vie se mua en U.T
C’est pourquoi je dus faire gambade.

Ce que tu dis est bien formulé, s’en est une de tes règles. Je pense que tout le monde ici a bien saisi et personne ne peut t’en tenir rigueur. Tu n’as fait que t’exprimer et à chacun d’apprécier ou d’ignorer !

En ce qui me concerne, j’estime que le pardon et la compréhension valent toutes les fortunes du monde.

Sincèrement...

Un dit bien aiguisé qui tend à faire méditer les plus chevronnés d'entre nous afin d'en apprécier !!!
...

Je t'adore, tout bonnement...!


En ce qui me concerne, j’estime que le pardon et la compréhension valent toutes les fortunes du monde.
...

Tu n'es que...Mon sosie.

Iratz a écrit:

Tu n'es que...Mon sosie.

Si tu le dis...

A force d’être diseur de vérité, on devient non crédible…(1.20.Q)
...

Dire la vérité c'est toujours crédible , seulement la conjoncture, la manière, le niveau de réception de l'interlocuteur, le décalage de compréhension que les mots véhiculent ... un retard ou une distance d'avance sur les autres. Tous ça donnent comme résultat,des couacs injustifiés

Dit-il, correctement.

Iratz a écrit:

Dit-il, correctement.

C'est quand même incroyable, Iratz ! ! !
Je pensais justement à un avatar de "Thissisth" ou plutôt comme on disait lorsqu'on étaient insouciants, jeunes et beaux et on sentaient le sable chaud... : "Rtilla", il y'a de cela 48h, je te le jure, crois-moi.

Ces souvenirs qui ne cessent de nous tourmenter et de nous donner envie de retourner en arrière pour revivre ces merveilleux moments, ne serait-ce qu'un instant pour dire à ces personnes que nous avons perdues aujourd'hui, combien on les aimes et combien elles nous manquent...

Sincèrement...

C'est quand même incroyable, Iratz ! ! !
Je pensais justement à un avatar de "Thissisth" ou plutôt comme on disait lorsqu'on étaient insouciants, jeunes et beaux et on sentaient le sable chaud... : "Rtilla", il y'a de cela 48h, je te le jure, crois-moi.

Ces souvenirs qui ne cessent de nous tourmenter et de nous donner envie de retourner en arrière pour revivre ces merveilleux moments, ne serait-ce qu'un instant pour dire à ces personnes que nous avons perdues aujourd'hui, combien on les aimes et combien elles nous manquent...

Sincèrement...
...


Vois-tu? R'TILA, tu me nommais ainsi, il y a des lustres!
...
Quelle agréable souvenance!

Iratz a écrit:

Quelle agréable souvenance!

Eh oui, que le temps passe vite...
C’était le bon temps !

Je pousse des han ! Quand je repense au Hi Han sur lequel on juchait pour aller Ar THALA

Iratz a écrit:

Je pousse des han ! Quand je repense au Hi Han sur lequel on juchait pour aller Ar THALA

Si seulement on naissait vieux...
Maintenant je ne serai pas loin du bonheur parfait...!

Ou alors si c'était à refaire...
J'en profiterai du mieux que je peux sans perdre une seconde, de ces êtres chers que je n'ai plus...!

Je fais un songe succulent, malgré l’absence Des deux Ours !

Elle existe encore celle à qui on devait tout ?!
...Thala...

De notre temps aller ar THALA, c'était interdit.

arezki a écrit:

De notre temps aller ar THALA, c'était interdit.

Et comment faisiez-vous alors pour vous abreuver ?!

Nos mères faisaient la corvée d'eau, moi c'etait ma grande mère bien aimée

l'eau très très fraiche l'eau des montagnes , dans de petits seaux,à petit pas pour ne pas trop secoué l'eau qui de temps en temps rafraichaisissait nos cheville MHHHHHHHHHHHHH ELLE NE REMPLACE PAS CELLE DU FRIGO A+