AZAZGA ( Ieêzoguene - Thamourth aâzizene ) - FRANCE - KABYLIE /ALGÉRIE LIEU D'ÉCHANGES, D'INFORMATIONS ET DE RENCONTRES, POUR LES KABYLES ET LE MONDE ENTIER... |
| | Assia Djebar | |
| | Auteur | Message |
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yassous Aigue-Marine
Nombre de messages : 187 Localisation : Alger Date d'inscription : 24/05/2006
| Sujet: Assia Djebar 25.05.07 19:05 | |
| Assia DJEBAR Élue en 2005 au fauteuil 5
Commandeur des Arts et des Lettres
Prédécesseur : Georges VEDEL Œuvres Discours et travaux académiques Romancière Biographie
Née le 30 juin 1936 à Cherchell (Algérie). Ancienne élève de l'École normale supérieure de Sèvres (1955). Elle écrit son premier roman La Soif en 1957, suivi de son deuxième roman en 1958, Les Impatients. Études d'histoire (Moyen Âge arabe et Maghreb du XIXe siècle) sous la direction de Louis Massignon et Jacques Berque. Professeur d’histoire moderne et contemporaine du Maghreb à la Faculté des lettres de Rabat, de 1959 à 1962. Au printemps 1962, sort à Paris son troisième roman Les Enfants du nouveau monde. Professeur d'université à la faculté d'Alger : d'histoire de 1962 à 1965, de littérature française et de cinéma de 1974 à 1980. En 1974, de retour à Alger, elle enseigne les études francophones. Parallèlement, elle commence la préparation d’un long métrage semi-documentaire, après des séjours dans la tribu maternelle des Berkani. Elle y interroge la mémoire des paysannes sur la guerre, y intègre des épisodes dans La Nouba des Femmes du Mont Chenoua, long-métrage de deux heures, produit en arabe et en français par la télévision algérienne, sur une musique de Béla Bartok. Ce long-métrage suscite des débats contradictoires dans les milieux algériens. Il sera présenté à Carthage en 1978, puis à la Biennale de Venise, en 1979 où il obtient le Prix de la Critique internationale. Il est actuellement étudié dans la plupart des universités américaines. Elle continuera son travail de cinéma avec un long métrage documentaire La Zerda et les Chants de l’oubli présenté en 1982, par la télévision algérienne et primé au Festival de Berlin, comme « meilleur film historique » en janvier 1983. Ne pouvant travailler à la fois, comme romancière francophone dans son pays tout en poursuivant une œuvre de cinéaste dans sa langue maternelle, elle choisit définitivement de retourner vivre à Paris, en 1980. De 1980 à 2005, sa vie, en banlieue parisienne, puis à Paris, est consacrée presque exclusivement à son travail d’écriture française : romans, essais, théâtre, travail critique. De 1983 à 1989, elle est choisie par Monsieur Bérégovoy, ministre des affaires sociales, comme représentante de l’émigration algérienne pour siéger au Conseil d’administration du FAS (Fonds d’action sociale). Elle publie dès lors régulièrement aux éditions Albin Michel, aux éditions Actes Sud. Après la publication de son roman L’Amour, la Fantasia, elle fait régulièrement des tournées de lecture de ses textes en Allemagne, en Italie et des conférences dans les universités anglaises et américaines. En 1995, elle accepte de partir travailler en Louisiane, comme professeur titulaire à Louisiana State University de Bâton Rouge où elle dirige également un Centre d’études françaises et francophones de Louisiane. En 2001, elle quitte la Louisiane pour être à New York University professeur titulaire. En 2002, elle est nommée Silver Chair Professor. Auparavant, tout l’été 2000, à Rome, dans une production du Teatro di Roma, elle met en scène un drame musical en cinq actes : Filles d’Ismaël dans le vent et la tempête dont elle est l’auteur. Elle écrit Aicha et les femmes de Médine, drame musical en 3 actes, que lui a commandé un théâtre de Rotterdam, la même année. Prix littéraires : - Prix Liberatur de Francfort, 1989 - Prix Maurice Maeterlinck, 1995, Bruxelles - International Literary Neustadt Prize, 1996 (États-Unis) - Prix Marguerite Yourcenar, 1997 (Boston États-Unis) - Prix international de Palmi (Italie) - Prix de la paix des Éditeurs allemands (Francfort) en 2000 - Prix international Pablo Neruda, 2005 (Italie) - Prix international Grinzane Cavour pour la lecture, 2006 (Turin, Italie). Docteur honoris causa des universités de Vienne (Autriche), de Concordia (Montréal), d’Osnabrück (Allemagne). Son œuvre littéraire est traduite en vingt trois langues. Une vingtaine d’ouvrages étudient son œuvre : en français, en anglais, en allemand et en italien. Un colloque international lui a été consacré en novembre 2003, à la Maison de écrivains, à Paris (actes publiés en 2005). Un autre est prévu à Cerisy en 2008. Élue à l'Académie française, le 16 juin 2005, au fauteuil de M. Georges Vedel (5e fauteuil). oeuvres la soif les impatuents les enfants du nouveau monde les alouettes naives femmes d'alger dans leurs appartements l'amour,la fantasia ... | |
| | | azul Topaze
Nombre de messages : 54 Date d'inscription : 10/05/2007
| Sujet: Re: Assia Djebar 25.05.07 22:09 | |
| Eh oui Yassous ! nul n'est prophéte dans son pays !Si ele était restée à Cherchel elle serait professeur de français dans un lycée minable avec une paie minable livrée à des "éléves minables" par démission du pouvoir et des parents! | |
| | | yassous Aigue-Marine
Nombre de messages : 187 Localisation : Alger Date d'inscription : 24/05/2006
| Sujet: Re: Assia Djebar 26.05.07 16:38 | |
| sur v3 sujetes de français de bac blanc aucun n(a traite un texte d'Assia djebar peut etre au bac | |
| | | Iratz Saphir
Nombre de messages : 421 Localisation : Azazga Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Re: Assia Djebar 29.05.07 17:55 | |
| Assia Djebar! N’est point une vaine écrivaine, mais je crois qu'elle a eu de la veine, car elle n'est plus en ce pays où les nullard trouvent nul, l’art !
Oncue un ne m'aura? Tu es sous mon égide, dit le squale au rémora! | |
| | | yassous Aigue-Marine
Nombre de messages : 187 Localisation : Alger Date d'inscription : 24/05/2006
| Sujet: Re: Assia Djebar 29.05.07 21:16 | |
| c'est de la que ses ecrits sont partis conquerir le monde et cela ne fait pas si longtemps qu'elle est partie | |
| | | Iratz Saphir
Nombre de messages : 421 Localisation : Azazga Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Re: Assia Djebar 31.05.07 9:42 | |
| X : C’est une réelle sacrée veinarde, Y : Sans la silhouette d'un doute, X : Elle ne se vêtit plus de hardes ! Y : Eh, oui ! Sa veine est le Fruit de rêches routes ! ...
Hum...! | |
| | | yassous Aigue-Marine
Nombre de messages : 187 Localisation : Alger Date d'inscription : 24/05/2006
| Sujet: Re: Assia Djebar 31.05.07 11:06 | |
| la veine d'Assia Djebar c'est le merveilleux don d'ecrire le reste est de la perseverance | |
| | | Iratz Saphir
Nombre de messages : 421 Localisation : Azazga Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Re: Assia Djebar 01.06.07 16:34 | |
| C’est ce que j’ai émis d’une autre guise. ... | |
| | | yassous Aigue-Marine
Nombre de messages : 187 Localisation : Alger Date d'inscription : 24/05/2006
| Sujet: Re: Assia Djebar 01.06.07 16:45 | |
| j'ai du mal comprendre mes excuses | |
| | | Iratz Saphir
Nombre de messages : 421 Localisation : Azazga Date d'inscription : 31/01/2007
| Sujet: Re: Assia Djebar 01.06.07 16:48 | |
| Personnage sibyllin, je suis réputé. N’aie d’arias ! ... | |
| | | Ouarziguen Topaze
Nombre de messages : 33 Age : 53 Localisation : Belgique Date d'inscription : 04/05/2007
| Sujet: Re: Assia Djebar 06.06.07 20:12 | |
| Yassous, Sais-tu qu'on peut traiter ton expression : "C'est le merveilleux don d'écrire, le reste est de la persévérance." dans une longue dissertation qui mettrait en relief tout particulièrement ce "don d'écrire" qui n'est pas à la portée même des plus grands auteurs connus. Nombre des plus prestigieux écrivains français, parfois même académiciens, fatiguent tellement par leurs écrits insipides qu'ils donnent envie de refermer leurs ouvrages, avant même la dixième page. Robert Laffont, dans son livre "L'éditeur" avoue d'ailleurs, à ce propos, que c'est une fois franchie la lecture de la 30e page qu'il décide, d'un commun accord avec son comité de lecture, de l'édition d'un ouvrage. Autrement dit, il ne suffit pas d'aligner des successions de phrases plus ou moins bien construites pour susciter l'intérêt du lecteur. Il faut encore que ce dernier soit captivé par le sens profond et réfléchi d'un ouvrage écrit. Ne pas pouvoir satisfaire cette dernière condition est ce qui a grandement diminué la valeur d'une foison d'oeuvres mal reçues du public. Aussi, avant d'évoquer la question de la persévérance, reste-t-il à combler ce trou abyssal, apanage d'une frange bien limitée d'auteurs dignes de ce nom. | |
| | | aziza Platine
Nombre de messages : 2604 Localisation : IDF - France Date d'inscription : 15/02/2007
| Sujet: Re: Assia Djebar 06.06.07 20:37 | |
| un exemple le livre DOSTOIEVSKI LES FRERES KARAMAZOV VOLUME I VOLUME 2
le 1er je vous dit pas c'est long à lire, les 50 1ere pages, puis l'histoire commence et la vous le dévoré. BONNE SOIREE | |
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| Sujet: Re: Assia Djebar | |
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| | | | Assia Djebar | |
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