Aïd El Fitr

Demain sera l’Aid, c'est un jour pas comme les autres. La présence de toute la smala d’El Hadj Ali n’est pas un facteur stabilisant pour solenniser dans la piété cette fête religieuse ou le pardon reprend la valeur qui devrait être la sienne, c'est-à-dire un des piliers de la loi divine dans la vie communautaire.
Un pardon qui s’exprime dans notre contrée par les visites à plein couffin de ses proches en priorité les filles, les soeurs et les tantes ayant quitté le domicile familial pour un mariage ou une autre obligation d’éloignement.
On rend visite aussi aux parents et aux voisins hommes plus âgés afin de ressouder les liens rompus dans des cas et les resserrer quand le fils n’est pas cassé, le ressourcement des visiteurs auprès des anciens est aussi un objectif louable qui a son importance dans les relations entre les générations.
Entretenir des rapports permanents demande une continuité de l’action, une suite dans les idées et il est coûteux
Le jour de L’Aïd est précédé d’un repas familial, la vieille, autour du patriarche pour entendre les bons usages, recenser les nécessiteux auxquels sera destinée la donation de fin du ramadan, « une obligation pour chaque jeûneur », prodiguer une bénédiction pour une meilleure religiosité de la famille et des habitants en général.
Un conseil de famille qui ne dit pas son nom. Smaïl lainé absorbé par son travail n’a pas beaucoup de regard sur ce que font ses parents, son frère et sa sœur, il est toujours en retrait dans la conduite des affaires familiales.
Omar comptera ses sous, non pas pour donner aux pauvres leurs dus, mais pour se gonfler et prendre des airs auprès des siens. Une attitude mal vue même par son entourage.
La veille de l’Aid El fitr n’est pas de tout repos pour Na Malha, les préparatifs lui prennent tout son temps, elle doit mettre la maison et ses dépendances en état de propreté enviable, elle doit préparer les victuailles les beignets, les différentes galettes pour remplir les couffins des visites et en offrir aux invités et, elle se fera belle dans ses beaux habits flambants neufs pour accueillir ses invités.
Le vieux caresse ses moustaches tout en préparant un recentrage sur sa façon de voir l’avenir de la famille, mais il lui faut une reprise en main qu’il n’est pas près d’acquérir.
C’est sur ses moustaches en les nouant nerveusement qu’il décharge son adrénaline, elles se dénoueront avec les ablutions de la prière de l’aïd.
Le clou remuant dans sa chaire provient du comportement de son fils Omar, il le compare souvent à une partie du corps gangrenée et il ne lui trouve pas de remède,
Il disait souvent pour se consoler que l’herbe épineuse se développe dans un champ de blé, il disait aussi qu’il n’y a pas de branches sans quelques mauvais greffons.

Bonjour à toutes et à tous, bonjour mon cher ami et cousin,

Merci pour cette belle remontée dans tes souvenirs et ces leçons de morales.
Je vous souhaite à toutes et à tous une belle fête de l'Aïd, que ce jour saint puisse-nous apporter, l’amour de son prochain, savoir pardonner et la bonté de nos coeurs.

Oui ! mon ami je papote quand je peux et ces derniers temps, rien dans les pieds, rien dans la tête. la flemme seule contenue de ma cervelle.
Bien à toi et proches

Prends soin de toi mon cher Arezki, car nous avons tous, de près ou de loin, besoin de toi, de ta sagesse et de tes précieux conseils.

Bien le bonjour à toute la famille grands et petits, ainsi que Lehvev, même ceux que je ne connais pas.

azul saha remdhanenwen et dans qlq jour saha i3idenwn

Que santé et bonheur accompagnent chaque instant de notre vie , bonne fête à tous

saha i3idenwen